Ces dernières années, au fur et à mesure de l’agrandissement de l’envergure urbaine, les secteurs de la protection de l’environnement de la Région autonome du Tibet ont également renforcé leur surveillance ordinaire sur l’environnement écologique et ont construit successivement dans les villes de Lhasa, Xigazê et Changdu etc. des stations de surveillance pour contr?ler régulièrement la qualité atmosphérique et la pollution par le bruit. Elles ont fourni des informations s?res pour qu’on puisse bien être informé au courant de la qualité atmosphérique du Tibet. En même temps, les départements concernés de tous les échelons de la région du Tibet ont renforcé le travail sur la protection des prairies, des forêts naturelles et des animaux sauvages et s’efforcent de lutter contre la désertification et la perte du sol et des eaux. Grace à la protection efficace des ressources forestières naturelles et au reboisement, le taux de couverture forestière du Tibet s’est élevé de moins de 1% dans les années 1950 à environ 6% d’aujourd’hui.
On a planté de nombreuses forêts de protection au sud du fleuve Yarlung Zanbo. Le directeur du Bureau de sylviculture de la région Shannan du Tibet Huang Yong nous a indiqué : ? Avec des efforts d’une vingtaine d’année, nous avons construit une bande de forêts de protection d’une longueur de 150 km et d’une surface de 300 000 mus (15 mus égale 1 hectare ). Grace à ces efforts, le fleuve Yarlung Zanbo devient aujourd’hui plus limpide qu’auparavant. ?
Auparavant, la route reliant l’aéroport Gongga du Tibet à la région Shannan est souvent ensevelie par le sable et aujourd’hui elle devient plus accessible.
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